Psychothérapie

Le mal-être peut prendre différentes formes :

Somatisations, troubles du sommeil, stress, angoisse, répétitions de scénarios de vie, débordement émotionnel, problèmes de couple, difficultés professionnelles, troubles de fertilité, perte de libido, et d’autres.

Que propose la psychothérapie ?

Durant la première séance, nous voyons ensemble ce pour quoi vous venez, les causes potentielles conscientes et inconscientes et les solutions que je peux vous proposer.

J’observe très souvent trois axes de travail possibles :

  • Traiter un traumatisme :

Un traumatisme peut être défini par un vécu dans lequel il y a du “trop” (trop fort, trop inattendu, trop tôt, trop violent…).

Un traumatisme peut être récent ou remonter à des dizaines d’années.

Ce n’est jamais le temps qui passe qui peut régler un traumatisme bien au contraire, et il ne peut pas être géré par le mental conscient.

C’est un travail qui prend assez peu de temps (2 à 4 séances) et dont les bienfaits sont très importants.

Exemples de traumatismes : accident, agression, choc, abus, fausse couche, interruption médicale de grossesse, interruption volontaire de grossesse, apprendre le décès brutal ou une maladie grave de quelqu’un de proche.

  • Une période de vie à traverser :

Certaines situations sont génératrices de tensions émotionnelles ou psychologiques difficiles à affronter seul.

L’accompagnement permet de comprendre ce qui est en jeu, de mieux vous connaître, de pouvoir changer ce qui est nécessaire, de libérer et apprendre à gérer les émotions, d’être entendu et soutenu.

Exemples de périodes de vie à traverser : difficulté de couple, relation extra conjugale, perte de libido, séparation, solitude, deuil, licenciement, excès de pression professionnelle, procréation médicalement assistée.

  • La structure psychique :

Vous êtes unique, individuel, structuré psychologiquement.

Votre personnalité définie entre 0 et 7 ans, est majoritairement inconsciente et vous conditionne.

Les aspects limitants de la personnalité peuvent être créateurs de troubles. Ils peuvent s’être installés sur un choc, sur des petites informations quotidiennes ou des manques dans le regard, le comportement des adultes responsables à votre égard.

Quand par exemple une croyance telle que “je suis nul(e)” est en place, elle provoque des comportements excessifs de perfectionnisme. Ces comportements demandent beaucoup d’efforts et sont épuisants, les résultats ne sont jamais acquis. Finalement des situations, des personnes, des contextes faisant ressentir la souffrance du “je suis nul(le)” vont continuer à se présenter en permanence.

Autre exemples de croyance limitante “je ne suis pas digne”, “je ne suis pas à la hauteur”, “je ne vais pas y arriver ”, “je ne suis pas à ma place ”, “la vie est trop dure”, “je ne mérite pas”, “je ne m’aime pas”…..

Vous pouvez changer ces aspects limitants de votre personnalité et aller vers une vie qui vous ressemble vraiment, vous comble plus, qui a plus de sens pour vous.